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En bref…
Née à Anvers, j’ai grandi à Bruxelles, puis ai déménagé en Wallonie à l’âge de 31 ans pour raisons professionnelles. De ma mère italienne, j’ai hérité l’amour de la bonne cuisine et des bons vins. Mes auteurs préférés ? Il y en a trop ! Je citerai ceux qui me viennent spontanément à l’esprit : Stefan Zweig, Haruki Murakami, Ken Follet, Zola, Alexandre Dumas et Amélie Nothomb.
Ma biographie…
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours adoré lire. Gamine, je feignais de tomber malade pour rester une semaine au lit, une pile de bouquins sur la table de chevet. La lecture m’a apporté évasion et consolation tout au long de ma vie, dans les moments heureux comme malheureux. J’étais si boulimique que je m’emparais de tout ce qui me passait entre les mains : à onze ans, je découvrais San-Antonio en même temps qu’Alexandre Dumas.
Mon rapport à l’écriture est plus complexe. Je me souviens d’avoir rédigé d’innombrables chapitres un, à partir de l’âge de dix-huit ans. Cassée par le sarcasme d’une de mes camarades « Que veux-tu raconter ? Les mémoires d’une jeune fille sage ? », j’ai remisé ce projet dans le fond d’un tiroir. Effectivement, j’avais très peu vécu, et si l’imagination s’emballait, le syndrome de l’imposteur l’emportait. Malgré des humanités littéraires, je m’étais orientée vers la dentisterie, études rapidement écartées au profit d’un master en sociologie du travail. Un mariage, un début de carrière laborieux et de nombreuses épreuves ont fini par enterrer mes velléités d’écriture.
De nature passionnée, je me suis investie corps et âme dans une activité que je n’ai abandonnée qu’à la fin de la quarantaine, épuisée et emplie de doutes. Mon fils devenu grand, et cet engagement derrière moi, je disposais à présent de ce qu’il m’avait le plus manqué jusque-là pour amorcer ce projet : du temps.
Je me suis heurtée à pas mal de refus de la part de maisons d’édition, et j’ai fini par me persuader que cette voie n’était pas faite pour moi, que j’étais trop âgée pour l’explorer.
Durant ce temps, j’ai découvert Scribay et sa communauté bienveillante, au sein de laquelle j’ai commencé à reprendre progressivement confiance en moi. Mes textes plaisaient, suscitaient polémiques et discussions, mon style s’améliorait à vue d’œil grâce aux conseils d’écrivains expérimentés ainsi qu’à l’acquisition d’un logiciel de correction performant.
En avril 2020, je suis tombée par hasard sur une maison d’édition qui organisait un concours sur un thème qui correspondait parfaitement à l’un de mes romans. J’ai été retenue, comme deux autres auteures.
L’aventure allait enfin commencer !
Interviews…
Le 1er novembre 2020, au sein de la magnifique librairie bruxelloise Le Mot Passant, j’ai eu le plaisir d’être interviewée par la charmante Martine Huyghens, passionnée de lecture.
L’interview est consultable ici : https://www.deliawilmus.com/2021/03/27/interview-delia-wilmus-1er-novembre-2020/
Chroniques de lecteurs
Tome 1
Tome 2