Face aux difficultés de la vie, on a deux façons de réagir : s’asseoir et désespérer ou trouver des solutions créatives.
Que faire quand on désire s’autopublier, qu’on est perfectionniste, qu’on tique à chaque coquille ou faute dans un écrit, mais que les coûts de correction représentent un obstacle insurmontable, sachant qu’écrire ne constitue qu’une passion et non sa profession principale et qu’il est quasi impossible de se corriger soi-même ?
J’y ai beaucoup réfléchi au cours du dernier trimestre, et à force d’en discuter avec d’autres, la solution s’est imposée à moi : puisque je dispose d’un bon niveau d’orthographe, et que j’ai relevé des fautes dans des écrits pourtant relus par deux ou trois correcteurs, pourquoi ne pas potasser la matière de ce fameux Certificat Voltaire et me lancer moi aussi dans un nouveau défi ?
C’est donc ce que j’ai fait… J’ai travaillé d’arrache-pied d’octobre à décembre et j’ai obtenu un score de 991/1000 aux questions de l’examen (96 % au module orthotypographique).
Une visite à mon comptable m’a éclairée sur les démarches à effectuer, et bientôt je me lancerai dans une nouvelle activité complémentaire : la correction de romans. Ce sera vraisemblablement au début du trimestre prochain.
Bien entendu, comme je travaille toujours à temps plein et que je consacre l’essentiel de mes loisirs à écrire, je ne prendrai en charge qu’un nombre limité de corrections.
Bien vite, je vous en dirai un peu plus sur ce nouveau projet qui m’enthousiasme et qui fera l’objet d’un nouveau site (j’ai le nom mais… chut ! C’est encore un secret !)