Une nouvelle année sous le signe des rêves et des livres !

Nous voilà dans cette période si particulière entre la douceur des fêtes et l’élan d’une nouvelle année. Comment vivez-vous ces jours-là ? Êtes-vous plutôt du genre à cocooner chez vous avec une tasse de thé et un bon livre, ou à vous plonger dans des projets pour démarrer l’année en beauté ? Peut-être profitez-vous de congés bien mérités pour recharger les batteries ?

De mon côté, j’adore ce moment où tout semble possible, où l’on se surprend à rêver aux pages blanches qu’offre l’année à venir.

Parmi ces rêves, l’un des miens prend forme grâce à vous : mon roman Les Royaumes d’argile est maintenant disponible en précommande en version numérique sur Amazon !

N’hésitez pas à précommander votre exemplaire ici : Les Royaumes d’argile eBook : Wilmus, Delia: Amazon.fr: Livres

J’espère que cette histoire saura vous emporter autant que j’ai aimé la créer. Vous pourrez la découvrir dès le 15 janvier, mais en attendant, je serais curieuse de savoir quels livres accompagnent vos débuts d’année. Avez-vous déjà trouvé votre première lecture de 2025 ? N’hésitez pas à me partager vos projets littéraires et vos envies de lecture pour les mois à venir, ainsi que des pépites qui ont marqué votre année 2024.

Je vous souhaite une merveilleuse année, pleine de découvertes et d’évasions livresques, et je me réjouis de vous retrouver bientôt pour de nouvelles aventures.



Des nouvelles de mon roman fantasy : publication en janvier 2025 !

En avant-première, je vous présente le titre et la couverture de mon roman ( la version numérique sera disponible dès le 15 janvier et la version brochée le 15 février).

Cette magnifique couverture rétro (avec des signes d’usure visibles), en hommage au pulp, néorétro, et popart est l’œuvre de BadMutantArt.

Pourquoi cet hommage ? Parce que la fantasy, c’est de la littérature d’évasion qui plonge le lecteur quelques heures ailleurs, avant qu’il ne rejoigne à nouveau la réalité, tout comme les Pulp, souvent décriés, mais qui ont permis l’émergence de héros tels que Tarzan, Conan le Barbare, ou encore Zorro.

Chaque élément de cette couverture a été choisi avec soin.

En choisissant d’accentuer « Argile », le graphiste a placé la fragilité au cœur du propos. L’argile, par nature, est malléable mais aussi précaire, prête à se fissurer ou à s’effondrer sous la pression. Ce choix symbolique dépeint des royaumes qui ne sont pas synonymes de puissance ou de permanence, mais d’instabilité et de transformation. Cette fragilité devient alors le point d’ancrage du récit, soulignant que les systèmes en place, bien que grands en apparence, ne tiennent qu’à un fil.

La protagoniste au premier plan : Le choix d’une femme en position centrale est directement ancré dans l’imagerie pulp, où les personnages étaient souvent exagérément héroïques. Ici, elle incarne une figure de force et de résolution, portant une épée et un sac, des éléments qui symbolisent respectivement le combat et l’exploration. L’association d’une guerrière avec un outil d’intellect (le sac) suggère un équilibre entre action et réflexion.

Le visage monstrueux à l’arrière-plan :

L’image de la menace est une constante des magazines pulp, qui dramatisaient l’intrigue en amplifiant le danger. Ici, ce visage grotesque peut être interprété comme une métaphore des obstacles écrasants qui attendent les personnages, jouant sur le registre du fantastique et de l’horreur.

Le chemin et l’arbre central :

L’arbre stylisé, coupant la composition en deux, possède une forte charge symbolique. D’un côté, un univers médiéval fantastique (château, forêts) ; de l’autre, un monde contemporain. L’arbre agit comme un pont entre ces réalités, soulignant le voyage et la dualité. Les runes gravées dans le tronc ajoutent une couche ésotérique, suggérant des liens profonds entre les mondes.

L’armée en arrière-plan : La masse de figures derrière la protagoniste accentue le sentiment de conflit épique. Cela renvoie à l’imagerie des récits pulp, où les héros étaient souvent isolés face à des défis gigantesques.

La saturation des couleurs évoque immédiatement les couvertures pulp des années 1930-50, avec une utilisation marquée des contrastes (ciel éclatant, ombres profondes). Cette approche amplifie la tension dramatique et guide l’œil à travers la composition.

Cette couverture reprend avec soin les codes visuels des magazines pulp : une composition dense, des couleurs éclatantes, un héros bien défini et une menace palpable. Toutefois, elle modernise ces éléments en intégrant des références symboliques (comme l’arbre) et une sensibilité contemporaine, notamment dans la représentation d’un personnage féminin fort sans hypersexualisation.

L’imagerie pulp excelle dans sa capacité à raconter une histoire immédiatement. Ici, le spectateur est plongé dans un monde riche et énigmatique. On comprend que le roman oscille entre mondes et genres (fantasy et contemporain) tout en étant centré sur des conflits personnels et épiques.

Et voici en avant-première aussi, le résumé de quatrième de couverture :

Une quête initiatique, un amour impossible, un destin captivant.

Quel rapport existe-t-il entre une ligue secrète d’assassins au Bouthan, un séduisant et mystérieux sorcier londonien et le trône usurpé d’une lointaine planète, Hidara ?

Une jeune femme amnésique s’engage dans une quête effrénée pour comprendre son passé. Chaque révélation ébranle ses certitudes, redéfinissant son identité et son rôle dans un conflit où les luttes de pouvoir se mêlent aux enjeux personnels.

Tiraillée entre un héritage écrasant et des sentiments interdits, elle devra affronter des ennemis redoutables, mais aussi ses propres doutes. Saura-t-elle dépasser les épreuves qui jalonnent sa route sans renoncer à ce qui la définit vraiment ?

Bienvenue dans un univers où magie et intrigues politiques s’entremêlent, où trahison et désir s’affrontent, et où une héroïne déterminée lutte pour écrire son propre destin.

J’espère que cet aperçu vous donnera l’envie de découvrir mon roman ! 🙂